Un nouvel avion de combat

Le 13 février 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps en rajoute une couche et dévoile sa véritable nature de cheval de Troie au sein de la Confédération. Ce journal s’attaque frontalement à Ueli Maurer et lui reproche de n’avoir pas choisi un avion plus cher qui n’aurait rien rapporté à la Suisse en terme d’emploi. Le journal continue sa diatribe anti-Gripen en revenant sur les 98 améliorations que la firme SAAB a déjà apporté à son Gripen. Le journal s’attaque aussi à la communication de l’ancien président de la Confédération. Le 25 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps révèle sur son site web que des activistes suédois ont trouvé des documents entre la firme SAAB et le gouvernement fédéral. Le 14 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site web que les Suisses voteront sur l’acquisition de 22 Gripen et se réjouit de cette possibilité d’affaiblir le Pays. Pour une meilleure résistance aux hautes vitesses supersoniques, la voilure a été dotée d’un troisième longeron. Déplacement des aérofreins vers le dessous des entrée d’air. La roulette de nez se replie vers l’avant et comporte deux pneus à basse pression. Pour cela, il est le premier avion de chasse au monde à avoir adopté un radar à balayage électronique, en l’occurrence le SBI-16 Zaslon, capable de détecter 10 cibles et d’en engager 4 en même temps. 70° -60° en site. Une patrouille de quatre avions peut interconnecter ses radars pour surveiller une zone de 560 km de large, le leader de la patrouille pouvant assigner une cible à chaque équipier. Enfin, le MiG-31 peut être dirigé automatiquement vers sa cible depuis une station au sol ou un avion de type AWACS. Le MiG-31 possède également un détecteur infrarouge rétractable. Le système de navigation installé à bord ainsi que la perche de ravitaillement en vol permirent par exemple à un Foxhound d’effectuer un vol d’essai Mourmansk-Pôle Nord-Tchoukotka de plus de 8 000 km accompli en 8 heures et 49 minutes. En 1984, le bureau d’étude MiG commença une profonde modification du MiG-31. L’appareil, désigné MiG-31M, se différencie peu de la version de base extérieurement. La verrière du pilote est faite d’une seule pièce alors que les vitres latérales de l’opérateur sont plus petites. La surface des apex a été augmentée. A la place de l’ancien viseur infrarouge est installé un capteur optronique avec détecteur infrarouge et télémètre laser à l’avant du pare-brise. L’armée de l’air russe et celle du Kazakhstan sont actuellement les seuls utilisateurs du MiG-31. Après avoir envisagé l’achat de MiG-31 au début des années 1990, la Chine a finalement opté pour des Su-27 et Su-30. ]. En mai 2009, le contrat qui s’élève à 400-500 millions de dollars est gelé par la Russie, officieusement en raison de pressions israéliennes, selon une source proche de Rosoboronexport, l’agence russe d’export d’armes.

Le F-18 me direz-vous, cela fait presque 10 ans que l’on en entend parler. Cela était même devenu « l’arlésienne » de la simulation la bonne blague qui fait rire le soir avant de partir en vol avec le squad.. Et pourtant il est la sur mon écran, que de chemin parcouru, que d’attentes suscitées. Alors ce module vaut-t-il d’avoir patienté toutes ces années ? Et bien, à défaut de certitudes et de réponses fermes dues, car la version testée est bien loin d’être une version finale, nous allons tenter de vous éclairer sur le sujet … après la pub …(oups je m’égare) . Ce module est particulier car c’est le premier vrai module full ED ère moderne depuis le A-10C. Enfin full ED pas tout à fait en fait, Belsimtek a rejoint le navire pour aider ED à finir, avancer, terminer (rayer les mentions inutiles) ce projet capital. Ce module sert également a promouvoir la carte « Hormuz » et le futur « asset-pack » aéronavale. Le réglage de l’inclinaison de la caméra se fait via la molette à gauche de la télécommande. On appuie su le petit bouton en haut à gauche pour prendre les photos et en haut à droite pour prendre les vidéos. Un compteur s’affiche pour montrer la durée de l’enregistrement. Le retour vidéo se fait en quasi direct. Le retour vidéo se perd entre 40 et 250m. l’enregistrement continue, mais les boutons de prises de vues ne marchent plus jusqu’à ce que le drone revienne à portée. L’atterrissage : pour atterrir, on peut utiliser le mode « return to home » ou piloter le drone soit même. Avec l’effet de sol des hélices et les trains d’atterrissage rembourrés, l’atterrissage se fait en douceur. En dessous du drone et sous les moteurs, il y a des diodes. Les signaux lumineux envoyés par ces diodes renseignent sur l’état du drone en vol. Une brochure est fournie pour interpréter le langage de ces diodes, mais l’essentiel à retenir est que quand ça clignote, il y a un problème quelque part.

L’armée de l’air indienne a tiré pour la première fois le missile de croisière « Brahmos » d’un avion de combat le 22 novembre dernier. Le tir d’essai annoncé par le ministère de la Défense de l’Inde intervient presque 17 mois après que l’armée de l’air ait volé avec « Brahmos » à bord du Sukhoi Su-30MKI lors d’un test de portage captif. L’armée indienne a déjà déployé le missile « Brahmos », indo-russe depuis ses navires, mais le missile a nécessité plusieurs modifications pour la version aérienne. L’armée de l’air indienne a effectué des modifications logicielles sur le Su-30MKI et Hindustan Aeronautics a apporté les modifications électriques et mécaniques nécessaires à l’avion. La modification la plus difficile était d’optimiser l’alignement de transfert des capteurs inertiels. Soit un processus compliqué d’étalonnage des capteurs inertiels du missile à l’aide des données des systèmes de guidage de l’avion. Après avoir terminé le tir d’essai dans la baie du Bengale, l’armée indienne affirme que le « Brahmos » est maintenant le missile antinavire le plus rapide jamais lancé depuis les airs. Il s’est mieux comporté dans les missions air-sol, en ex-Yougoslavie ou en Arménie. Lorsque l’Allemagne réunifiée l’évalue, elle a la mauvaise surprise de constater qu’avec ses missiles et son viseur de casque, le MiG-29 est en mesure d’abattre la quasi-totalité des F-16 qui lui sont opposés. On ne sait donc plus s’il faut incriminer l’appareil ou bien ses pilotes, peut-être peu ou mal formés. Sans doute convient-il de relativiser et de rappeler qu’il s’agissait d’exemplaires de toute première génération et d’export (donc aux capacités dégradées). Ils étaient opposés à des avions de combat à l’électronique plus évoluée, soutenus par des AWACS, et dont les pilotes volent bien plus régulièrement. Concernant le MiG-29, le marché de l’occasion reste dynamique. La Moldavie a vendu la plupart de ses exemplaires, dont pas moins de 21 rien qu’aux Etats-Unis. Début 2010, le Liban s’en voit proposer 10 mais préfère finalement acquérir des hélicoptères Mi-24.

L’avenir ne s’annonce pas trop mal pour le Super Hornet de Boeing. La production de l’appareil devrait se poursuivre jusque dans les années 2020 et un important programme de modernisation est en cours de développement pour l’US Navy. La Marine américaine a commandé 12 F/A-18E/F en 2016 et négocie l’acquisition de 14 appareils supplémentaires pour l’année fiscale 2017. De son côté, le Koweit négocie actuellement l’acquisition de 28 appareils. Le Super Hornet Bk III changera d’apparence avec l’intégration de réservoirs conformes qui permettront d’augmenter l’autonomie du F/A-18 E/F. Le radar sera remplacé par l’APG 79 a balayage électronique de Raytheon. Les capacités de détection seront également accrues avec la possibilité d’emporter la nacelle IRST Block I et II permettant de faire de la poursuite de cibles à longue distance par infrarouge. Le Bk III comprendra aussi beaucoup d’améliorations en terme d’électronique. Le cockpit sera rénové avec un système tout écran et une meilleure vision de la situation tactique. Le Super Hornet Bk III sera équipé du système de guerre électronique IDECM Block IV. De nouvelles liaisons de données (TTNT et DTPN) devraient améliorer l’intégration avec les avions de conduite E-2, les Growler et le système de combat AEGIS de l’US Navy. Enfin la motorisation fera aussi l’objet d’une modernisation. Tous les aspects de cette modernisation n’ont pas encore été contractualisés. L’E/A-18G Growler, version destinée à la guerre électronique du Super Hornet sera également modernisé. On retrouvera les réservoirs conformes, l’amélioration de la motorisation, la modernisation du cockpit et les nouvelles liaisons de données. Le Growler sera aussi équipé d’un nouveau pod de brouillage (Next Generation Jammer) et le système ALQ-218 (Se trouvant en bout d’aile) sera aussi modernisé.

Sofitel marie art de vivre à la française et raffinement de la culture locale. Inspiré du temps jadis, le Sofitel Shenyang Lido allie les esthétiques orientale et occidentale dans un cadre exquis au raffinement contemporain. Idéalement situé dans le quartier des affaires, cet hôtel 5 étoiles compte 590 chambres luxueuses, trois restaurants épicuriens et un service sur mesure. Un thé chaud servi à l’arrivée est le premier signe de la magnifique hospitalité de Sofitel. Profitez d’une vaste chambre élégamment meublée. Plongez dans un bain relaxant et dormez paisiblement dans votre lit Sofitel MyBed. Une fois prêt à découvrir la ville, des boutiques et du divertissement haut de gamme ne sont qu’à quelques minutes. L’hôtel est renommé pour son personnel d’exception et sa minutie. Chaque jour à 18 h, les ambassadeurs et maîtres d’hôtel officient dans une cérémonie avec chandelles et musique douce. Ressourcez-vous et entamez votre soirée avec ce rituel apaisant. Caroline Fontenoy: Vous qui êtes un pro-européen, pourquoi avoir privilégié envers et contre tout un avion américain? Charles Michel: Parce que cet avion-là était le meilleur rapport qualité-prix. Il est 600 millions d’euros moins cher que ce qui est prévu. Et puis, surtout, il y a eu une procédure très longue, très lourde et très objective. On a donné la possibilité à toutes les agences étatiques de faire des offres, de faire des propositions. Malheureusement, c’était leur choix, les Français n’ont pas remis d’offre dans la procédure objective qui avait été lancée. Je veux aussi mettre en évidence que, si la décision est prise de commander des F-35, 30% des composantes de l’appareil seront fabriquées en Europe, c’est le premier élément. Deuxième élément: pour le reste, pour le matériel blindé, pour la marine également, ce seront des projets européens qui seront choisis. Et je veux être tout à fait clair: nous voulons choisir à la fois l’alliance européenne pour notre défense commune, ce qui est fait au travers des décisions qui sont prises. Nous voulons aussi considérer que les États-Unis restent un partenaire.

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